Paradis conjugal d'Alice Ferney
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Paradis conjugal d'Alice Ferney
Paradis conjugal d'Alice Ferney
Ce soir, elle a fait dîner les plus jeunes, elle a dîné avec les plus grands. Les quatre enfants sont maintenant couchés. Installée devant son poste de télévision, « émancipée, dans le ravissement et la délivrance du soir », Elsa Platte laisse aller ses pensées devant le film de Joseph L. Mankiewicz, Chaînes conjugales. Quelle place est celle du sexe dans la durabilité d’une relation amoureuse ? Quelle est l’importance du lien charnel inauguré par l’attirance ? Comment s’y prend-on pour manquer à ses devoirs ? Ce soir, elle lutte contre l’envie de se coucher et de pleurer. Elle peut encore entendre la phrase, « assourdie dans sa mémoire vive, comme si elle l’entendait sous l’eau, comme si elle s’était cachée sous l’eau lorsqu’il s’était mis à parler. Il ? C’était son mari qui disait : demain soir et les soirs suivants, prépare-toi à dormir seule. Je ne rentrerai pas. Je ne rentrerai pas dans une maison où ma femme est installée devant la télévision, voit le même film depuis trois mois, ne se lève pas pour me préparer à dîner, et se couche sans me regarder ! Non, décidément, l’époux n’est ce soir ni dans le sillage parfumé, ni dans la maison, le lit ou les bras d’Elsa. Elle est seule. C’est la plus triste manière d’être tranquille. Elle peut regarder le film. Elle pense que la perte de l’objet aimé détruit toute la joie de vivre. » Elsa, plus que jamais, partage ses mésaventures sentimentales avec les personnages du film qu’elle regarde. Déclinant les affres d’une relation conjugale qui s’effrite, Alice Ferney écrit un roman simple, évident et troublant.
Mon avis : Elsa, une femme dépressive, mariée à Alexandre Platte, se passe en boucle le film de Joseph Mankiewicz « Chaînes conjugales ». La vision de ce film, véritable miroir des angoisses d’Elsa, la plonge dans une introspection douloureuse de son couple et de ses possibles ratés. La fiction rejoint la réalité quand Elsa fait sienne le drame qui se joue sur pellicule et se pense elle aussi abandonnée par son mari…
Quelle horreur, je crois que je ne supporte pas l'écriture de cette femme, il ne se passe rien dans ce livre, elle répete la même chose pendans 135 pages moment ou j'ai abandonné.
Pas de note.
Je ne note pas les livres que je n'ai pas fini.
J'attends vos critques avec impatience.
Ce soir, elle a fait dîner les plus jeunes, elle a dîné avec les plus grands. Les quatre enfants sont maintenant couchés. Installée devant son poste de télévision, « émancipée, dans le ravissement et la délivrance du soir », Elsa Platte laisse aller ses pensées devant le film de Joseph L. Mankiewicz, Chaînes conjugales. Quelle place est celle du sexe dans la durabilité d’une relation amoureuse ? Quelle est l’importance du lien charnel inauguré par l’attirance ? Comment s’y prend-on pour manquer à ses devoirs ? Ce soir, elle lutte contre l’envie de se coucher et de pleurer. Elle peut encore entendre la phrase, « assourdie dans sa mémoire vive, comme si elle l’entendait sous l’eau, comme si elle s’était cachée sous l’eau lorsqu’il s’était mis à parler. Il ? C’était son mari qui disait : demain soir et les soirs suivants, prépare-toi à dormir seule. Je ne rentrerai pas. Je ne rentrerai pas dans une maison où ma femme est installée devant la télévision, voit le même film depuis trois mois, ne se lève pas pour me préparer à dîner, et se couche sans me regarder ! Non, décidément, l’époux n’est ce soir ni dans le sillage parfumé, ni dans la maison, le lit ou les bras d’Elsa. Elle est seule. C’est la plus triste manière d’être tranquille. Elle peut regarder le film. Elle pense que la perte de l’objet aimé détruit toute la joie de vivre. » Elsa, plus que jamais, partage ses mésaventures sentimentales avec les personnages du film qu’elle regarde. Déclinant les affres d’une relation conjugale qui s’effrite, Alice Ferney écrit un roman simple, évident et troublant.
Mon avis : Elsa, une femme dépressive, mariée à Alexandre Platte, se passe en boucle le film de Joseph Mankiewicz « Chaînes conjugales ». La vision de ce film, véritable miroir des angoisses d’Elsa, la plonge dans une introspection douloureuse de son couple et de ses possibles ratés. La fiction rejoint la réalité quand Elsa fait sienne le drame qui se joue sur pellicule et se pense elle aussi abandonnée par son mari…
Quelle horreur, je crois que je ne supporte pas l'écriture de cette femme, il ne se passe rien dans ce livre, elle répete la même chose pendans 135 pages moment ou j'ai abandonné.
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Lisalor- Le lycée
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Date d'inscription : 22/09/2007
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