Carnet du Sénégal de Virginie Broquet et texte de Richard Bohringer
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Carnet du Sénégal de Virginie Broquet et texte de Richard Bohringer
Carnet du Sénégal Virginie Broquet et texte de Richard Bohringer
Je marche nu sur la terre. De Saint-louis à Bamako, de Lomé à Ouaga. L'Afrique me prend dans ses bras. Je la sens, je la hume, la renifle, comme la vie.
LE LIVRE : «Je marche nu sur la terre. De Saint-Louis à Bamako, de Lomé à Ouaga. L'Afrique me prend dans ses bras. Je la sens, je la hume, la renifle, comme la vie, comme la mort. Il y aura sur la route des villages de chaque côté, un grand arbre dans l'air brûlant. C'est le soir, tout est rouge. Le vent fait flotter les boubous. Femmes qui courent, jambes noires, gazelles odorantes. Petits talibés, hordes d'orphelins, qui sourient et qui rient. Grosse misère sauf le sourire qui fait péter le clavier. Afrique, tu es riche de ton âme. Tu ruisselles de trésors humains. Talibés, vous avez des sourires d'anges. Malgré vos silences. Pas d'enfances. Trop de prières. Petit frère d'Afrique dans ton boubou qui court vers le baobab. Je m'incline devant toi. Les mains noires, longues, les veines comme des torrents, boubous multicolores de voyageurs harassés, fulgurance de la beauté dans le mouvement. Mon coeur est à toi, ma merveille, ma terrible Afrique.»
A Saint-Louis du Sénégal, Virginie Broquet au terme de l'une de ses nombreuses déambulations dans la ville, s'arrête pour dessiner une maison...Cette maison, c'est celle de Richard Bohringer qui, depuis vingt ans, voue un amour sans bornes pour le Sénégal dont il a pris la nationalité en 2002. Ce livre est le fruit de cette coïncidence, puis de leur rencontre.
Je marche nu sur la terre. De Saint-louis à Bamako, de Lomé à Ouaga. L'Afrique me prend dans ses bras. Je la sens, je la hume, la renifle, comme la vie.
LE LIVRE : «Je marche nu sur la terre. De Saint-Louis à Bamako, de Lomé à Ouaga. L'Afrique me prend dans ses bras. Je la sens, je la hume, la renifle, comme la vie, comme la mort. Il y aura sur la route des villages de chaque côté, un grand arbre dans l'air brûlant. C'est le soir, tout est rouge. Le vent fait flotter les boubous. Femmes qui courent, jambes noires, gazelles odorantes. Petits talibés, hordes d'orphelins, qui sourient et qui rient. Grosse misère sauf le sourire qui fait péter le clavier. Afrique, tu es riche de ton âme. Tu ruisselles de trésors humains. Talibés, vous avez des sourires d'anges. Malgré vos silences. Pas d'enfances. Trop de prières. Petit frère d'Afrique dans ton boubou qui court vers le baobab. Je m'incline devant toi. Les mains noires, longues, les veines comme des torrents, boubous multicolores de voyageurs harassés, fulgurance de la beauté dans le mouvement. Mon coeur est à toi, ma merveille, ma terrible Afrique.»
A Saint-Louis du Sénégal, Virginie Broquet au terme de l'une de ses nombreuses déambulations dans la ville, s'arrête pour dessiner une maison...Cette maison, c'est celle de Richard Bohringer qui, depuis vingt ans, voue un amour sans bornes pour le Sénégal dont il a pris la nationalité en 2002. Ce livre est le fruit de cette coïncidence, puis de leur rencontre.
Mon avis : Hommage vibrant à l'afrique, tout petit livre que se lit en 20 minutes, de superbes illustrations à toutes les pages de Virginie Broquet et un amour inconditionnel de Richard Bohringer à l'afrique noir.
Pas mal du tout.
8/10
Lisalor- Le lycée
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