La grosse de Françoise Lefèvre
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La grosse de Françoise Lefèvre
Présentation de l'éditeur
Rien ne prédestinait Céline Rabouillot à devenir garde-barrière. Elle lit des livres, parle trois langues, comprend les enfants comme personne. Elle accompagne un homme âgé qui a aimé les abeilles, la bonne chère et les grands crus de Bourgogne. Mais elle est grosse, trop grosse pour les "autres" que dérangent ses manières et ses habitudes. Et la voilà — elle qui porte le poids de l’absence, le chagrin d’un enfant mort — vouée à la haine sournoise de ceux qui n’acceptent la différence sous aucune de ses manifestations.
Dans ce récit tragique, aux pages tour à tour fiévreuses et révoltées, Françoise Lefèvre, en même temps qu’elle évoque cette cruauté par phrases impitoyables, s’attache à révéler la somme de grâce et de tendresse qui fait de Céline Rabouillot un être de passion, une Marie Madeleine d’aujourd’hui.
mon avis à venir prochainement
Re: La grosse de Françoise Lefèvre
Ca a l'air bien. J'attends ton avis
kroustik- L'école primaire
- Nombre de messages : 348
Age : 49
Localisation : Bruxelles
Date d'inscription : 18/02/2008
Re: La grosse de Françoise Lefèvre
Livre ne comptant qu'une centaine de pages ce qui ce lit très vite. Dans ce roman nous faisons la connaissance de Céline qui est une femme généreuse. Elle a pour seuls amis 1 homme Anatolis et deux enfants. Seulement le destin va en décider autrement à la suite de la lecture.
Ce que je reprocherai à ce livre c'est que Françoise Lefèvre nous donne comme caricature de "la gross" la même que tout le monde c'est dire: une femme gentille, douce, chaleureuse, donnant tout aux autres alors que ces gens, des méchants, ne lui rendent rien en retour. Arrêtons d'enfermer les gens dans une caricature dont ils n'arrivent plus ensuite à sortir!
En parallèle avec cette histoire de "grosse" nous voyons que cette femme se raccroche à la vie (le temps qu'elle peut) en repensant à des fantômes (le vagabon et son enfant) qui donne un trait encore plus sensible pour cette femme qui manque cruellement d'amour.
C'est une histoire sensible, belle et tendre avec beaucoup de poésie.
Ce que je reprocherai à ce livre c'est que Françoise Lefèvre nous donne comme caricature de "la gross" la même que tout le monde c'est dire: une femme gentille, douce, chaleureuse, donnant tout aux autres alors que ces gens, des méchants, ne lui rendent rien en retour. Arrêtons d'enfermer les gens dans une caricature dont ils n'arrivent plus ensuite à sortir!
En parallèle avec cette histoire de "grosse" nous voyons que cette femme se raccroche à la vie (le temps qu'elle peut) en repensant à des fantômes (le vagabon et son enfant) qui donne un trait encore plus sensible pour cette femme qui manque cruellement d'amour.
C'est une histoire sensible, belle et tendre avec beaucoup de poésie.
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