Moon Palace de Paul Auster
+4
Julien
deliregirl1
kroustik
Lisalor
8 participants
Page 1 sur 1
Moon Palace de Paul Auster
Moon Palace Paul Auster
"Rien ne saurait étonner un Américain." Telle est l’épigraphe empruntée à Jules Verne par laquelle Paul Auster invite le lecteur à suivre les tribulations de son héros. Marco Stanley Fogg raconte ici les circonstances étranges qui ont marqué le commencement de sa vie, depuis son arrivée à New York en 1965 jusqu’à ce que, sept ans plus tard, il découvre l’identité de son père… à temps pour assister à son enterrement. Et ses amours, ses rencontres, sa misère, ses errances dans les paysages mythiques de l’Amérique rêvée constituent le matériau d’un formidable roman d’aventures en même temps qu’elles apparaissent comme les étapes d’un voyage initiatique aux confins de la solitude et de la déréliction — thèmes fondateurs de l’œuvre de l’écrivain.
Mon avis : Un premier point non négligeagle j'ai quand même bien aimé. J'ai été dérouté par l'écriture je n'ai jamais lu ce style de livre mais quelque fois le récit traine en longeur alors on commence à s'ennuyer et puis tout à coup c'est reparti de plus belle et on est à fond dedans. Je dirai que c'est quand même un peu bizarre mais j'ai apprécié l'hsitoire de ce jeune garçon à la recherche un peu de son existence.
Ne pas lire si vous voulez lire le livre sinon tout en sera gaché
9/10
"Rien ne saurait étonner un Américain." Telle est l’épigraphe empruntée à Jules Verne par laquelle Paul Auster invite le lecteur à suivre les tribulations de son héros. Marco Stanley Fogg raconte ici les circonstances étranges qui ont marqué le commencement de sa vie, depuis son arrivée à New York en 1965 jusqu’à ce que, sept ans plus tard, il découvre l’identité de son père… à temps pour assister à son enterrement. Et ses amours, ses rencontres, sa misère, ses errances dans les paysages mythiques de l’Amérique rêvée constituent le matériau d’un formidable roman d’aventures en même temps qu’elles apparaissent comme les étapes d’un voyage initiatique aux confins de la solitude et de la déréliction — thèmes fondateurs de l’œuvre de l’écrivain.
Mon avis : Un premier point non négligeagle j'ai quand même bien aimé. J'ai été dérouté par l'écriture je n'ai jamais lu ce style de livre mais quelque fois le récit traine en longeur alors on commence à s'ennuyer et puis tout à coup c'est reparti de plus belle et on est à fond dedans. Je dirai que c'est quand même un peu bizarre mais j'ai apprécié l'hsitoire de ce jeune garçon à la recherche un peu de son existence.
Ne pas lire si vous voulez lire le livre sinon tout en sera gaché
- Spoiler:
Pensez vous que Effing alias Julien Barber savait que Fogg était son petit fils
9/10
Lisalor- Le lycée
- Nombre de messages : 1795
Age : 53
Localisation : Haute-loire
Date d'inscription : 22/09/2007
Re: Moon Palace de Paul Auster
C'est de mes livres préférés, j'adore ce genre d'écriture, les récits à rebondissement.
kroustik- L'école primaire
- Nombre de messages : 348
Age : 49
Localisation : Bruxelles
Date d'inscription : 18/02/2008
Re: Moon Palace de Paul Auster
Super deliregirl j'attends ton avis avec impatience
Lisalor- Le lycée
- Nombre de messages : 1795
Age : 53
Localisation : Haute-loire
Date d'inscription : 22/09/2007
Re: Moon Palace de Paul Auster
C'est grave ca, je ne sais meme plus si je l'ai lu ou pas. Je crois que oui, mais j'ai un serieux doute ...
Julien- Admin
- Nombre de messages : 2169
Age : 45
Localisation : Chalons en champagne
Date d'inscription : 16/09/2007
Re: Moon Palace de Paul Auster
En tant que spécialiste de Paul Auster Julien tu mérite un carton rouge
Lisalor- Le lycée
- Nombre de messages : 1795
Age : 53
Localisation : Haute-loire
Date d'inscription : 22/09/2007
Re: Moon Palace de Paul Auster
Je vais m'auto-supprimer mon compte
Adieu
Adieu
Julien- Admin
- Nombre de messages : 2169
Age : 45
Localisation : Chalons en champagne
Date d'inscription : 16/09/2007
Re: Moon Palace de Paul Auster
ce fut pour moi mon tout premier Paul auster, ce n'est pas du tout le genre de lecture vers laquel je me tourne, je peux pas dire que j'ai pas aimé mais j'ai trouvé que c'était trop long parfois, puis d'autres fois ça prends un virage à 180°; je m'attendais à tout autres choses en fait, ses personnages sont torturés ou accomplis, je ne sais trop comment définir , en fait c'est là mon problème, je pense que je passe à coté, ou il n'y a rien à chercher là ou je crois
j'ai lu d'autres ouvrages de Paul Auster par curiosité et j'ai eu la même impression avec "Léviathan", j'ai mieux aimé "Tombouctou" car le personnage principal est un chien très attachant; J'ai aussi lu la trilogie N.Yorkaise, livre que j'ai lu, je l'avoue que c'est parce qu' ils sont courts
Après toutes ces lectures, j'appréhende d'en lire d'autres de peur de peiner dans ma lecture et que ça se tranforme en une lecture fastudieuse, je me force et n'y trouve aucun plaisir.
j'espère que vous avez tout compris
j'ai lu d'autres ouvrages de Paul Auster par curiosité et j'ai eu la même impression avec "Léviathan", j'ai mieux aimé "Tombouctou" car le personnage principal est un chien très attachant; J'ai aussi lu la trilogie N.Yorkaise, livre que j'ai lu, je l'avoue que c'est parce qu' ils sont courts
Après toutes ces lectures, j'appréhende d'en lire d'autres de peur de peiner dans ma lecture et que ça se tranforme en une lecture fastudieuse, je me force et n'y trouve aucun plaisir.
j'espère que vous avez tout compris
Re: Moon Palace de Paul Auster
Ah c'est rigolo car moi Tombouctou j'ai tenté deux fois de le lire sans succès il me tombe des mains parce que le héros est un chien justement et je ne peux pas m'identifer à un chien. Et pourtant je ne rate pas UN livre de Auster.
kroustik- L'école primaire
- Nombre de messages : 348
Age : 49
Localisation : Bruxelles
Date d'inscription : 18/02/2008
Re: Moon Palace de Paul Auster
Moi le seul livre de paul auster que j'ai lu c'est également "Tombouctou" et j'ai bien aimé pour un 1er livre
Re: Moon Palace de Paul Auster
Ah, Paul Auster ! Un regard ténébreux et charmeur, un sourire ravageur, une voix qui fait frissonner et une écriture au-delà du talent, une écriture de perfection...
Avec Moon Palace, Paul Auster nous entraîne de l'Est à l'Ouest des Etats-Unis des années 60/70. Il nous fait partager le destin d'un jeune américain comme beaucoup d'autres mais dont les prénoms et le nom prédestinaient à une vie d'aventure et de rebondissements. Son nom : Marco Stanley Fogg. Un jeune américain simple, mais au destin hors du commun.
" Avec du recul, je me rends compte que je devais avoir une curieuse allure : hâve, échevelé, intense, un jeune homme dont le décalage par rapport au reste du monde était évident. Mais le fait est que je n'avais aucune envie d'entrer dans la danse. Si mes camarades de cours me considéraient comme un individut bizarre, ce n'était pas mon problème. J'étais l'intellectuel sublime, le futur génie irascible et imbu de ses opinions, le Malevole ténébreux qui se tenait à l'écart du troupeau..."
Ainsi, Paul Auster nous emmène, par une écriture riche, bouleversant de réalisme et de sensations, dans la vie de M.S. Fogg. Nous ferons la connaissance de l'Oncle Victor, sorte de père de substitution, auquel le héro est très attaché. Nous suivrons Marco lors de ses études semées d'embûches et de soucis à l'université de Columbia ; nous vivrons avec lui ses amitiés, son amour passionnel pour Kitty Wu ; nous partagerons sa solitude et ses drames. Et un jour, avec Fogg, nous ferons la connaissance d'un viel homme, Mr Thomas Effing, qui bouleversera sa vie.
"La première fois que j'ai eu Thomas Effing devant les yeux, j'ai eu l'impression de n'avoir jamais vu quelqu'un d'aussi fragile. Assis dans un fauteuil roulant sous des couvertures écossaises, le corps affaisé sur le côté, il évoquait un minuscule oiseau brisé. Rien que des os sous une peau fripée. Il avait quatre-vingt-six ans, mais on lui en aurait donné beaucoup plus, cent ans au moins, si possible, un âge au-delà des chiffres."
Paul Auster ménera son héro jusqu'à la découverte de ses origines, et lui permettra de véritablement se trouver et d'être en paix avec lui-même.
"Après vingt-quatre années vécues dans une interrogation sans réponse, j'avais peu à peu adopté cette énigme comme le fait central de mon identité. Mes origines étaient un mystère, et je ne saurais jamais d'où je venais. C'était ce qui me définissait, et je m'était habitué à ma propre obscurité, je m'y accrochais comme à une source de connaissance et de respect de moi-même, je m'y fiais comme à une nécessité ontologique."
Dès la prmeière page du roman, je me suis laisser hâpper par cette histoire touchante, bouleversante et dont le chemin est tracé de drames et de joie. En fait, une histoire de la vie...
Encore une fois, l'écriture de Paul Auster n'a fait qu'un avec mon être, me faisant respirer l'air que respirait Marco ; me faisant vibrer, pleurer, souffrir, rire lorsque son héro vibrait, pleurait, souffrait, riait.
Un livre éblouïssant par le talent de son auteur, donc, à la hauteur de mes espérances de lectrice. Un roman américain comme je les aime. Merci Mr Auster...
Avec Moon Palace, Paul Auster nous entraîne de l'Est à l'Ouest des Etats-Unis des années 60/70. Il nous fait partager le destin d'un jeune américain comme beaucoup d'autres mais dont les prénoms et le nom prédestinaient à une vie d'aventure et de rebondissements. Son nom : Marco Stanley Fogg. Un jeune américain simple, mais au destin hors du commun.
" Avec du recul, je me rends compte que je devais avoir une curieuse allure : hâve, échevelé, intense, un jeune homme dont le décalage par rapport au reste du monde était évident. Mais le fait est que je n'avais aucune envie d'entrer dans la danse. Si mes camarades de cours me considéraient comme un individut bizarre, ce n'était pas mon problème. J'étais l'intellectuel sublime, le futur génie irascible et imbu de ses opinions, le Malevole ténébreux qui se tenait à l'écart du troupeau..."
Ainsi, Paul Auster nous emmène, par une écriture riche, bouleversant de réalisme et de sensations, dans la vie de M.S. Fogg. Nous ferons la connaissance de l'Oncle Victor, sorte de père de substitution, auquel le héro est très attaché. Nous suivrons Marco lors de ses études semées d'embûches et de soucis à l'université de Columbia ; nous vivrons avec lui ses amitiés, son amour passionnel pour Kitty Wu ; nous partagerons sa solitude et ses drames. Et un jour, avec Fogg, nous ferons la connaissance d'un viel homme, Mr Thomas Effing, qui bouleversera sa vie.
"La première fois que j'ai eu Thomas Effing devant les yeux, j'ai eu l'impression de n'avoir jamais vu quelqu'un d'aussi fragile. Assis dans un fauteuil roulant sous des couvertures écossaises, le corps affaisé sur le côté, il évoquait un minuscule oiseau brisé. Rien que des os sous une peau fripée. Il avait quatre-vingt-six ans, mais on lui en aurait donné beaucoup plus, cent ans au moins, si possible, un âge au-delà des chiffres."
Paul Auster ménera son héro jusqu'à la découverte de ses origines, et lui permettra de véritablement se trouver et d'être en paix avec lui-même.
"Après vingt-quatre années vécues dans une interrogation sans réponse, j'avais peu à peu adopté cette énigme comme le fait central de mon identité. Mes origines étaient un mystère, et je ne saurais jamais d'où je venais. C'était ce qui me définissait, et je m'était habitué à ma propre obscurité, je m'y accrochais comme à une source de connaissance et de respect de moi-même, je m'y fiais comme à une nécessité ontologique."
Dès la prmeière page du roman, je me suis laisser hâpper par cette histoire touchante, bouleversante et dont le chemin est tracé de drames et de joie. En fait, une histoire de la vie...
Encore une fois, l'écriture de Paul Auster n'a fait qu'un avec mon être, me faisant respirer l'air que respirait Marco ; me faisant vibrer, pleurer, souffrir, rire lorsque son héro vibrait, pleurait, souffrait, riait.
Un livre éblouïssant par le talent de son auteur, donc, à la hauteur de mes espérances de lectrice. Un roman américain comme je les aime. Merci Mr Auster...
Malo- La maternelle
- Nombre de messages : 34
Age : 39
Localisation : Marseille
Date d'inscription : 10/12/2008
Sujets similaires
» La nuit de l'oracle, de Paul Auster
» Mr Vertigo, de Paul Auster
» Dans le scriptorium de Paul Auster
» Brooklyn folies, de Paul Auster
» Le livre des illusions, de Paul Auster
» Mr Vertigo, de Paul Auster
» Dans le scriptorium de Paul Auster
» Brooklyn folies, de Paul Auster
» Le livre des illusions, de Paul Auster
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|