La rentrée littéraire
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La rentrée littéraire
Voici en avant première la rentrée littéraire :
Présentation de l’éditeur :
On dit parfois d’un écrivain qu’on l’aime parce qu’on s’est attaché à son univers. Epique et sonore, tragique ou inspiré, celui de Laurent Gaudé comporte tout un monde de ténèbres. Dans les guerres, la pauvreté ou l’exil, l’auteur cherche à faire entendre la dimension solaire dont chaque personnage illumine sa propre trajectoire. Rythmé, puissant et captivant, La Porte des enfers oppose à la finitude humaine la foi des hommes en la possibilité d’arracher un être au néant.
2002, dans un restaurant de Naples, Filippo Scalfaro accomplit sa vengeance : il poignarde au ventre un client puis, le couteau sur la gorge, il le force à l’accompagner dehors, le fait monter dans une voiture, prend la direction du cimetière. Parvenu là, il le traîne jusqu’à une tombe et lui en fait déchiffrer l’inscription. Puis il lui tranche les doigts des mains et le laisse là, saignant et gémissant.
1980, dans les rues encombrées de Naples, Matteo tire par la main son fils et se hâte vers l’école. A un carrefour, soudain éclate une fusillade. Matteo s’est jeté à terre, couchant contre lui son petit garçon. Quand il se relève, il est baigné du sang de l’enfant, atteint par une balle perdue. 2002, après un dernière visite à “tante Grace”, prostituée et travesti qui l’a vu grandir, celui qui a accompli sa vengeance peut enfin quitter Naples et, roulant vers le Sud, partir à la recherche des siens, disparus depuis l’époque du grand tremblement de terre.
1980 : le deuil a édifié peu à peu un mur de silence entre Matteo et sa femme Giuliana. Matteo ne travaille plus. Toutes les nuits, il roule dans son taxi à travers les rues de Naples, sans presque jamais prendre de client. Il sait bien ce que Giuliana attend de lui : qu’il retrouve et punisse le responsable. Mais il en est incapable. Un soir, les circonstances le conduisent dans un minuscule café-bar, où il fait notamment la connaissance d’un Professeur qui tient d’étranges discours sur la réalité des Enfers et la possibilité d’y descendre…
On dit parfois d’un écrivain qu’on l’aime parce qu’on s’est attaché à son univers. Epique et sonore, tragique ou inspiré, celui de Laurent Gaudé comporte tout un monde de ténèbres. Dans les guerres, la pauvreté ou l’exil, l’auteur cherche à faire entendre la dimension solaire dont chaque personnage — habité par sa parole, son vouloir, et comme porté par une incantation à son destin — illumine sa propre trajectoire. Si le thème de la vengeance est présent dans La Porte des Enfers, il n’en constitue pas – loin s’en faut – le motif principal, car la fiction s’en empare pour explorer de tout autres territoires.
C’est dans la conscience de ses deuils personnels que Laurent Gaudé interroge ici la part de vie que nos morts nous volent, mais aussi la part de présent ou d’avenir que nous leur rendons par nos pensées. Ainsi peut s’entrouvrir la porte des Enfers et – comme le raconte dans ces pages le vieux Professeur pasolinien – s’accomplir le rêve de Frédéric II : descendre dans les abîmes, affronter la Mort sur son propre terrain.
Mais dans l’histoire de Matteo, de Giuliana et de leur fils, dans la lente dérive ou la brutale disparition comme dans les expériences des autres personnages aux prises avec leurs enfers personnels, c’est aussi la force du lien (amical autant que familial) qui se confronte à la séparation, à la peine ou au ressentiment.
Rythmé, puissant et captivant, le nouveau roman de Laurent Gaudé revisite le mythe d’Orphée pour opposer à la finitude humaine la foi des hommes en la possibilité d’arracher un être au néant.
Présentation de l'Editeur
« Le fait du prince » Un homme vole l’identité d’un inconnu. « Il y a un instant , entre la 15ème et la 16eme gorgée de champagne où tout homme est un aristocrate ».
Présentation de l’éditeur :
Jean-Paul Dubois retrouve le souffle romanesque d’ Une Vie française dans ce livre qui devrait enthousiasmer ses fans. Aucun des « fondamentaux » ne manque à l’appel : Toulouse, un anti-héros (Paul Stern) et son épouse (Anna), un père encombrant, l’actuel président de la République, l’Amérique, les bateaux, les petits-enfants, etc. Cette fois, Jean-Paul Dubois nous conduit à Hollywood. Paul doit y réécrire le scénario d’un film dont il est l’auteur, pour le compte d’un producteur qui prétend en tirer un remake. En réalité, Paul est parti pour oublier la maladie de sa femme, en dépression profonde, le remariage scandaleux de son père et, de manière plus générale, son échec personnel. Embauché par la Paramount, il découvre un autre univers où le sexe, l’argent, la drogue, la célébrité, mais aussi le désespoir occupent une place centrale. Et puis, il rencontre Selma Chantz, employée comme lui par la Paramount. Et sa vie bascule. Car Selma est le double parfait d’Anna, avec trente ans de moins…Une femme fascinante et dangereuse. Après un détour par le comique ( Monsieur Tanner) et l’inquiétante étrangeté ( Hommes entre eux ), Jean-Paul Dubois a écrit le grand roman que nous attendions. Tragique et drôle, jetant sur son époque un regard lucide, ce livre de la maturité garde néanmoins le charme des héros de Jean-Paul Dubois, éternels adolescents écartelés entre leur amour de la vie et leur sens aigu de la culpabilité.
Présentation de l’éditeur :
Les destins croisés d’Edouard Manet, qui meurt à 51 ans de gangrène, et de son collectionneur et modèle occasionnel, Eugène Pertuiset, aventurier, chasseur de lions, homme à femmes, gros mangeur et buveur, explorateur à ses heures, jusqu’à la Terre de feu. En 1881, deux ans avant sa mort, Edouard Manet fait le portrait d’un personnage haut en couleurs de l’époque, Eugène Pertuiset, à ses heures chasseur de lions en Algérie, mais aussi magnétiseur, explorateur, inventeur et trafiquant d’armes, activités qui le mèneront à accomplir de nombreux voyages en Amérique du Sud, et à faire la première tentative d’exploration de la Terre de Feu. Ce Portrait de Pertuiset, le chasseur de lions, qui n’est peut-être pas le plus connu de Manet aujourd’hui, ni le plus admiré, valut à l’artiste un prix au Salon. Les deux hommes étaient liés, et l’aventurier avait le bon goût d’être un collectionneur de Manet. Ce sont les aventures de ce Pertuiset, rocambolesques et assez farcesques, que retrace Olivier Rolin, croisées avec divers épisodes de la vie de Manet. C’est aussi un voyage à travers l’espace (l’Algérie coloniale, Lima, Valparaiso, la Terre de Feu), le temps (le Paris de Napoléon III, la guerre de 70, la Commune), les souvenirs littéraires (Baudelaire, Zola, Maupassant, etc.). Un roman mené tambour battant, comme une suite très rythmée de scènes ou de tableaux colorés. Mais bien sûr, Olivier Rolin ne fait pas un roman classique, et il entrecoupe son récit par l’évocation de souvenirs personnels qui le ramènent vingt-cinq ans en arrière lorsque, journaliste, il arpentait le continent latino-américain. « Le lion que tu chassais, la Terre de Feu que tu explorais, le trésor que tu cherchais, c’était, comme toujours, le temps perdu. »
Présentation de l’éditeur :
On dit parfois d’un écrivain qu’on l’aime parce qu’on s’est attaché à son univers. Epique et sonore, tragique ou inspiré, celui de Laurent Gaudé comporte tout un monde de ténèbres. Dans les guerres, la pauvreté ou l’exil, l’auteur cherche à faire entendre la dimension solaire dont chaque personnage illumine sa propre trajectoire. Rythmé, puissant et captivant, La Porte des enfers oppose à la finitude humaine la foi des hommes en la possibilité d’arracher un être au néant.
2002, dans un restaurant de Naples, Filippo Scalfaro accomplit sa vengeance : il poignarde au ventre un client puis, le couteau sur la gorge, il le force à l’accompagner dehors, le fait monter dans une voiture, prend la direction du cimetière. Parvenu là, il le traîne jusqu’à une tombe et lui en fait déchiffrer l’inscription. Puis il lui tranche les doigts des mains et le laisse là, saignant et gémissant.
1980, dans les rues encombrées de Naples, Matteo tire par la main son fils et se hâte vers l’école. A un carrefour, soudain éclate une fusillade. Matteo s’est jeté à terre, couchant contre lui son petit garçon. Quand il se relève, il est baigné du sang de l’enfant, atteint par une balle perdue. 2002, après un dernière visite à “tante Grace”, prostituée et travesti qui l’a vu grandir, celui qui a accompli sa vengeance peut enfin quitter Naples et, roulant vers le Sud, partir à la recherche des siens, disparus depuis l’époque du grand tremblement de terre.
1980 : le deuil a édifié peu à peu un mur de silence entre Matteo et sa femme Giuliana. Matteo ne travaille plus. Toutes les nuits, il roule dans son taxi à travers les rues de Naples, sans presque jamais prendre de client. Il sait bien ce que Giuliana attend de lui : qu’il retrouve et punisse le responsable. Mais il en est incapable. Un soir, les circonstances le conduisent dans un minuscule café-bar, où il fait notamment la connaissance d’un Professeur qui tient d’étranges discours sur la réalité des Enfers et la possibilité d’y descendre…
On dit parfois d’un écrivain qu’on l’aime parce qu’on s’est attaché à son univers. Epique et sonore, tragique ou inspiré, celui de Laurent Gaudé comporte tout un monde de ténèbres. Dans les guerres, la pauvreté ou l’exil, l’auteur cherche à faire entendre la dimension solaire dont chaque personnage — habité par sa parole, son vouloir, et comme porté par une incantation à son destin — illumine sa propre trajectoire. Si le thème de la vengeance est présent dans La Porte des Enfers, il n’en constitue pas – loin s’en faut – le motif principal, car la fiction s’en empare pour explorer de tout autres territoires.
C’est dans la conscience de ses deuils personnels que Laurent Gaudé interroge ici la part de vie que nos morts nous volent, mais aussi la part de présent ou d’avenir que nous leur rendons par nos pensées. Ainsi peut s’entrouvrir la porte des Enfers et – comme le raconte dans ces pages le vieux Professeur pasolinien – s’accomplir le rêve de Frédéric II : descendre dans les abîmes, affronter la Mort sur son propre terrain.
Mais dans l’histoire de Matteo, de Giuliana et de leur fils, dans la lente dérive ou la brutale disparition comme dans les expériences des autres personnages aux prises avec leurs enfers personnels, c’est aussi la force du lien (amical autant que familial) qui se confronte à la séparation, à la peine ou au ressentiment.
Rythmé, puissant et captivant, le nouveau roman de Laurent Gaudé revisite le mythe d’Orphée pour opposer à la finitude humaine la foi des hommes en la possibilité d’arracher un être au néant.
Présentation de l'Editeur
« Le fait du prince » Un homme vole l’identité d’un inconnu. « Il y a un instant , entre la 15ème et la 16eme gorgée de champagne où tout homme est un aristocrate ».
Présentation de l’éditeur :
Jean-Paul Dubois retrouve le souffle romanesque d’ Une Vie française dans ce livre qui devrait enthousiasmer ses fans. Aucun des « fondamentaux » ne manque à l’appel : Toulouse, un anti-héros (Paul Stern) et son épouse (Anna), un père encombrant, l’actuel président de la République, l’Amérique, les bateaux, les petits-enfants, etc. Cette fois, Jean-Paul Dubois nous conduit à Hollywood. Paul doit y réécrire le scénario d’un film dont il est l’auteur, pour le compte d’un producteur qui prétend en tirer un remake. En réalité, Paul est parti pour oublier la maladie de sa femme, en dépression profonde, le remariage scandaleux de son père et, de manière plus générale, son échec personnel. Embauché par la Paramount, il découvre un autre univers où le sexe, l’argent, la drogue, la célébrité, mais aussi le désespoir occupent une place centrale. Et puis, il rencontre Selma Chantz, employée comme lui par la Paramount. Et sa vie bascule. Car Selma est le double parfait d’Anna, avec trente ans de moins…Une femme fascinante et dangereuse. Après un détour par le comique ( Monsieur Tanner) et l’inquiétante étrangeté ( Hommes entre eux ), Jean-Paul Dubois a écrit le grand roman que nous attendions. Tragique et drôle, jetant sur son époque un regard lucide, ce livre de la maturité garde néanmoins le charme des héros de Jean-Paul Dubois, éternels adolescents écartelés entre leur amour de la vie et leur sens aigu de la culpabilité.
Présentation de l’éditeur :
Les destins croisés d’Edouard Manet, qui meurt à 51 ans de gangrène, et de son collectionneur et modèle occasionnel, Eugène Pertuiset, aventurier, chasseur de lions, homme à femmes, gros mangeur et buveur, explorateur à ses heures, jusqu’à la Terre de feu. En 1881, deux ans avant sa mort, Edouard Manet fait le portrait d’un personnage haut en couleurs de l’époque, Eugène Pertuiset, à ses heures chasseur de lions en Algérie, mais aussi magnétiseur, explorateur, inventeur et trafiquant d’armes, activités qui le mèneront à accomplir de nombreux voyages en Amérique du Sud, et à faire la première tentative d’exploration de la Terre de Feu. Ce Portrait de Pertuiset, le chasseur de lions, qui n’est peut-être pas le plus connu de Manet aujourd’hui, ni le plus admiré, valut à l’artiste un prix au Salon. Les deux hommes étaient liés, et l’aventurier avait le bon goût d’être un collectionneur de Manet. Ce sont les aventures de ce Pertuiset, rocambolesques et assez farcesques, que retrace Olivier Rolin, croisées avec divers épisodes de la vie de Manet. C’est aussi un voyage à travers l’espace (l’Algérie coloniale, Lima, Valparaiso, la Terre de Feu), le temps (le Paris de Napoléon III, la guerre de 70, la Commune), les souvenirs littéraires (Baudelaire, Zola, Maupassant, etc.). Un roman mené tambour battant, comme une suite très rythmée de scènes ou de tableaux colorés. Mais bien sûr, Olivier Rolin ne fait pas un roman classique, et il entrecoupe son récit par l’évocation de souvenirs personnels qui le ramènent vingt-cinq ans en arrière lorsque, journaliste, il arpentait le continent latino-américain. « Le lion que tu chassais, la Terre de Feu que tu explorais, le trésor que tu cherchais, c’était, comme toujours, le temps perdu. »
Re: La rentrée littéraire
Présentation de l'éditeur
Pour la énième fois, Elsa, mère de famille, 4 enfants, regarde le DVD de Chaînes conjugales, le classique de Mankiewicz. La veille, son mari l a prévenue qu il ne rentrerait pas dans une maison où sa femme regardait en boucle depuis trois mois le même film. L histoire de 3 amies qui en attendent une 4e. A l instant d embarquer pour une croisière, elles reçoivent de la retardataire, une lettre qui gâchera leur journée. Cette dernière les informe malicieusement qu elle quitte la ville avec le mari de l une d entre elles, les projetant pour plusieurs heures dans l angoisse, les soupçons, la jalousie...
Elsa regarde le film avec deux de ses aînés dont les réparties fusent, corroborant ses appréhensions les plus intimes. Les héroïnes du film lui tendent un miroir, véritable révélateur de sa situation conjugale, dans lequel elle se projette. Elle finit par céder aux larmes, à l apitoiement, puis au désir de reconquête de ce mari qui ne revient toujours pas...
Comment un film peut être le révélateur d une situation conjugale, comment peut-on arriver à analyser sa situation à travers une fiction, comprendre que l amour ne se vit pas à travers les autres mais dans la réalité ? Amour, désamour, non-dits, malentendus, lassitude, désir, peur de la solitude... Alice Ferney explore avec beaucoup d intelligence, de sensibilité et de subtilité les variations du sentiment amoureux dans le couple, comment s inventer le pire pour renaître à l amour.
Présentation de l'éditeur
Le Flore à Saint-Germain-des-prés, de nos jours.
Une mère et sa fille : deux versions différentes de la séduction.
La mère : « créée pour séduire, un Botticelli aux blondeurs vénitiennes ».
La fille : une beauté « de pas tous les jours » selon sa mère.
Un gynécée familial d intellectuelles et d artistes, Juives d origine russe et roumaine, où la mère apparaît comme un astre à l énergie fatale, à l amour surabondant qui chasse le naturel pour s installer dans le désir et la séduction, déléguant in fine à sa fille les rênes de sa machine à rêver.
Deux destins exemplaires qui renvoient chaque lectrice à son propre parcours.
Re: La rentrée littéraire
hamnessa a écrit:
Présentation de l'éditeur
Pour la énième fois, Elsa, mère de famille, 4 enfants, regarde le DVD de Chaînes conjugales, le classique de Mankiewicz. La veille, son mari l a prévenue qu il ne rentrerait pas dans une maison où sa femme regardait en boucle depuis trois mois le même film. L histoire de 3 amies qui en attendent une 4e. A l instant d embarquer pour une croisière, elles reçoivent de la retardataire, une lettre qui gâchera leur journée. Cette dernière les informe malicieusement qu elle quitte la ville avec le mari de l une d entre elles, les projetant pour plusieurs heures dans l angoisse, les soupçons, la jalousie...
Elsa regarde le film avec deux de ses aînés dont les réparties fusent, corroborant ses appréhensions les plus intimes. Les héroïnes du film lui tendent un miroir, véritable révélateur de sa situation conjugale, dans lequel elle se projette. Elle finit par céder aux larmes, à l apitoiement, puis au désir de reconquête de ce mari qui ne revient toujours pas...
Comment un film peut être le révélateur d une situation conjugale, comment peut-on arriver à analyser sa situation à travers une fiction, comprendre que l amour ne se vit pas à travers les autres mais dans la réalité ? Amour, désamour, non-dits, malentendus, lassitude, désir, peur de la solitude... Alice Ferney explore avec beaucoup d intelligence, de sensibilité et de subtilité les variations du sentiment amoureux dans le couple, comment s inventer le pire pour renaître à l amour.
Celui-là je vais attendre avec impatience qu'il sorte !!!..... et même pour être raisonnable il faudrait que j'attende la sortie..... en poche !
chanber- Le lycée
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Re: La rentrée littéraire
Laurent Gaudé me tente trèèèèès beaucoup, ainsi que Olivier Rolin, Alice Ferney.......
Mes bonnes résolutions de moins acheter de livres (je n'ai pas pu dire ne plus acheter... )
Dur de résister.
Mes bonnes résolutions de moins acheter de livres (je n'ai pas pu dire ne plus acheter... )
Dur de résister.
Pas69- L'école primaire
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Localisation : Région lyonnaise
Date d'inscription : 22/09/2007
Re: La rentrée littéraire
Mouais... Moi je trouve qu'il y a trop de gens connus là-dedans, pas assez de p'tits nouveaux.
Mais ça ne m'empêchera pas d'en lire quelques uns
Mais ça ne m'empêchera pas d'en lire quelques uns
Otsou- Modérateur
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Localisation : Reims
Date d'inscription : 20/09/2007
Re: La rentrée littéraire
Pour moi ça sera:
-Laurent Gaudé
-Amélie Nothomb
-Jean-Paul Dubois
-Alice Ferney
Non non...je ne les ai pas tous cité
-Laurent Gaudé
-Amélie Nothomb
-Jean-Paul Dubois
-Alice Ferney
Non non...je ne les ai pas tous cité
Re: La rentrée littéraire
Moui... Je ne cède jamais à cet effet "rentrée" et de toute façon j'attends que ce soit en bibli la plupart du temps. J'aime bien lire quand l'effet nouveauté est un peu retombé.
Bon le Nothomb me tente mais je n'ai pas encore lu celui de l'année passée ! Je ne l'acheterai surement pas car une vingtaine d'euros pour 1 h 15 de lecture c'est trop cher
Bon le Nothomb me tente mais je n'ai pas encore lu celui de l'année passée ! Je ne l'acheterai surement pas car une vingtaine d'euros pour 1 h 15 de lecture c'est trop cher
kroustik- L'école primaire
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Localisation : Bruxelles
Date d'inscription : 18/02/2008
Re: La rentrée littéraire
Voici les autres livre de la rentrée littéraire : (cliquez sur l'image pour agrandir)
Et pour plus d'infos :c'est ici
Et pour plus d'infos :c'est ici
Re: La rentrée littéraire
Voici les livres de le rentrée littéraire au niveau policier et suspense:
Présentation de l'éditeur
"Ce sont des enfants.
Ils ont la pureté des diamants les plus parfaits.
Aucune ombre. Aucune inclusion. Aucune faille.
Mais leur pureté est celle du Mal."
Etrange assassinat d un chef de chorale d origine chilienne dans l église arménienne de Paris. Disparitions de plusieurs enfants de ch ur. Série de meurtres opérée selon un protocole macabre : perforation inexplicable des tympans, inscriptions tirées du Miserere d Allegri, mystérieuses traces de pas autour des cadavres : pointure 36...
Pour mener l enquête, deux flics border line comme les aime Grangé : Kasdan, le vieux briscard à la retraite, et Volo le toxico, beau comme une rock star. Origines arménienne et russe. Deux hommes intelligents, acharnés, hantés par leur passé.
Du pur Grangé, complexe, tourmenté, baroque. Un de ses meilleurs thrillers, peut-être le plus inquiétant, qui mêle enfance, torture (des bourreaux nazis aux bourreaux chiliens), expérimentations scientifiques ultimes et musique...
Présentation de l'éditeur
Plage de sable fin sur une île privée des Caraïbes, une bombe sexuelle pour seule compagnie, Myron Bolitar essaie d'oublier Brenda Slaughter la basketteuse qu'il n'a pu sauver et dont il était tombé amoureux. Mais quand Win, richissime sociopathe et néanmoins meilleur ami, vient le chercher dans son jet, cela signifie que les ennuis commencent. Et quels ennuis... Esperanza, son associée, est accusée du meurtre d'un de leurs clients, Clu Haid, une star de base-ball sur le déclin. Et avec cette mauvaise publicité qui s'ajoute à la longue disparition de Myron, MB Sport est en train de perdre une bonne partie de sa clientèle débauchée par l'agence concurrente, tenue par le pire des escrocs. Bien sûr, Myron vole au secours d'Esperanza. Le seul problème c'est qu'elle ne veut pas de son aide, et refuse de lui parler. Et même si Myron et Win sont convaincus de son innocence, les faits sont accablants : la veille du meurtre, Clu Haid s'est battu avec Esperanza dont on a retrouvé les empreintes et diverses traces ADN sur la scène de crime... Très vite, Myron se rend compte qu'il n'est pas aussi lucide qu'il lui semblait. Il doute. Ne serait-il pas en train de recommencer les mêmes erreurs qui ont conduit à la mort de Brenda ?
Présentation de l'éditeur
Entre Bien et Mal, science et superstition, simulacres et vrais miracles, un
roman fort et sombre dans un Moyen Age fascinant.
Hiver 1288. Dans une paroisse isolée du Quercy, une troupe d'hommes en noir
s'empare d'un enfant. Refusant d'admettre que le petit est perdu, le prêtre
du village, le père Aba, se lance rageusement à la poursuite de ses
ravisseurs.
Au même moment, à Rome, l'éminent enquêteur Bénédict Gui accepte une
nouvelle mission : retrouver un jeune homme employé par l'administration du
pape.
Lui aussi a disparu sans laisser de traces, emmené par des hommes en noir.
Enfants enlevés, archives escamotées, cardinaux assassinés... Dans ce Moyen
Age où le pouvoir de l'Église est plus fort que jamais, quelque chose se
prépare.
Le père Aba et Bénédict Gui, sans se connaître et au prix de leur vie
peut-être, parviendront-ils à faire échouer les puissants qui ont sombré
dans le cynisme et la démesure ?
Présentation de l'éditeurDexter Morgan est le serial killer dont on rêve en secret, qui canalise ses instincts de tueur en se débarrassant des monstres ayant échappé à la justice. Son job de technicien de scène de crime pour la police de Miami lui fournit une couverture idéale. Mais un jour tout bascule : un double homicide commis sur le campus de l'université le terrifie... et le prive de sa voix intérieure, le Passager noir, qui l'aidait à identifier les assassins. Le plus dur pour lui sera de protéger les enfants de sa compagne Rita, les jeunes Cody et Astor, qui semblent avoir les mêmes appétits sanglants que lui... Traduit de l'américain. Du même auteur : Ce cher Dexter ; Dexter revient !
Présentation de l'éditeur
Jacqueline Owen est retrouvée morte après qu'elle a découvert une étrange inscription au-dessus de sa cheminée : CI-GISENT LES MENTEURS. Qui sont donc ces menteurs ? Cette énigmatique prophétie mène à un document ancien ayant appartenu aux hérétiques cathares, que le Vatican tente de récupérer par l'intermédiaire de la mafia. Mark Owen, son époux, n'est pas de force à mener ce genre de bataille seul et sollicite donc l'aide de son ami, Chris Bronson, un flic en conflit avec sa hiérarchie, qui enquête à titre personnel. Seulement, Mark Owen est à son tour très vite assassiné par la mafia. Entre temps, Chris Bronson a contacté son ex-femme, Angela Lewis, spécialiste des antiquités. Ils vont tous deux sillonner l'Europe, pourchassés par des tueurs à gages, pour essayer d'en savoir plus sur l'antique document. Pourquoi le Vatican s'inquiète-t-il à ce point ? En quoi ce texte peut-il remettre en question les fondements-même du christianisme ? Les symboles obscurs et les codes secrets dissimuleraient-ils une révélation de taille à ébranler notre monde moderne
Présentation de l'éditeur
Joseph Vaughan, écrivain à succès, tient en joue un tueur en série, dans l'ombre duquel il vit depuis l'enfance. Trente ans plus tôt : Joseph a 12 ans lorsqu'il découvre dans son village de Géorgie le corps horriblement mutilé d'une fillette assassinée. La première victime d'une longue série qui laissera longtemps la police impuissante. Des années plus tard, alors que l'affaire semble enfin élucidée, Joseph décide de changer de vie et de s'installer à New York pour oublier les séquelles de cette histoire qui l'a touché de trop près. Mais à nouveau les meurtres d'enfants se multiplient, et il comprend que le tueur est toujours à l'oeuvre. Joseph n'aura alors d'autre solution, pour échapper à ses démons, que de reprendre l'enquête afin de démasquer le vrai coupable, dont l'identité ne sera révélée que dans les toutes dernières pages. Au-delà du roman de serial killer, à la mécanique parfaite et au suspense constant, Seul le silencemarque une date dans l'histoire du thriller. Avec ce récit crépusculaire à la noirceur absolue, sans concession aucune, R. J. Ellory évoque autant William Styron que Norman Mailer par la puissance de son écriture et la complexité des émotions qu'il met en jeu. R. J. Ellory est né en 1965. Après avoir connu l'orphelinat et la prison, il devient guitariste dans un groupe de rock, avant de se tourner vers la photographie.
Présentation de l'éditeur
Oxford, 2006. Une jeune femme est retrouvée sauvagement assassinée, la gorge tranchée. En lieu et place de son cœur luit une pièce d'or ancienne. Vingt-quatre heures plus tard, une nouvelle victime est découverte. Le mode opératoire est identique. Mais cette fois c'est son cerveau qu'on a retiré et remplacé par une pièce d'argent. Tandis que l'enquête officielle piétine, Philip Bainbridge, photographe de la police, et son amie Laura Niven, ex-journaliste criminelle, font le lien avec des meurtres rituels commis au XVIIe siècle. Cette piste les mène à un groupe d'alchimistes organisé autour d'un des savants les plus célèbres de l'époque, sir Isaac Newton. Prise dans un engrenage infernal qui met en danger ses proches, Laura comprend qu'elle est la seule personne capable de réécrire l'histoire. Et d'empêcher l'assassin de frapper une fois de plus. Sous la plume experte de Michael White, science, histoire et occultisme se fondent en un thriller haletant hanté par la personnalité complexe d'Isaac Newton. Une plongée dans les souterrains d'Oxford qui lève le voile sur les mystères de l'alchimie.
Présentation de l'éditeur
"Ce sont des enfants.
Ils ont la pureté des diamants les plus parfaits.
Aucune ombre. Aucune inclusion. Aucune faille.
Mais leur pureté est celle du Mal."
Etrange assassinat d un chef de chorale d origine chilienne dans l église arménienne de Paris. Disparitions de plusieurs enfants de ch ur. Série de meurtres opérée selon un protocole macabre : perforation inexplicable des tympans, inscriptions tirées du Miserere d Allegri, mystérieuses traces de pas autour des cadavres : pointure 36...
Pour mener l enquête, deux flics border line comme les aime Grangé : Kasdan, le vieux briscard à la retraite, et Volo le toxico, beau comme une rock star. Origines arménienne et russe. Deux hommes intelligents, acharnés, hantés par leur passé.
Du pur Grangé, complexe, tourmenté, baroque. Un de ses meilleurs thrillers, peut-être le plus inquiétant, qui mêle enfance, torture (des bourreaux nazis aux bourreaux chiliens), expérimentations scientifiques ultimes et musique...
Présentation de l'éditeur
Plage de sable fin sur une île privée des Caraïbes, une bombe sexuelle pour seule compagnie, Myron Bolitar essaie d'oublier Brenda Slaughter la basketteuse qu'il n'a pu sauver et dont il était tombé amoureux. Mais quand Win, richissime sociopathe et néanmoins meilleur ami, vient le chercher dans son jet, cela signifie que les ennuis commencent. Et quels ennuis... Esperanza, son associée, est accusée du meurtre d'un de leurs clients, Clu Haid, une star de base-ball sur le déclin. Et avec cette mauvaise publicité qui s'ajoute à la longue disparition de Myron, MB Sport est en train de perdre une bonne partie de sa clientèle débauchée par l'agence concurrente, tenue par le pire des escrocs. Bien sûr, Myron vole au secours d'Esperanza. Le seul problème c'est qu'elle ne veut pas de son aide, et refuse de lui parler. Et même si Myron et Win sont convaincus de son innocence, les faits sont accablants : la veille du meurtre, Clu Haid s'est battu avec Esperanza dont on a retrouvé les empreintes et diverses traces ADN sur la scène de crime... Très vite, Myron se rend compte qu'il n'est pas aussi lucide qu'il lui semblait. Il doute. Ne serait-il pas en train de recommencer les mêmes erreurs qui ont conduit à la mort de Brenda ?
Présentation de l'éditeur
Entre Bien et Mal, science et superstition, simulacres et vrais miracles, un
roman fort et sombre dans un Moyen Age fascinant.
Hiver 1288. Dans une paroisse isolée du Quercy, une troupe d'hommes en noir
s'empare d'un enfant. Refusant d'admettre que le petit est perdu, le prêtre
du village, le père Aba, se lance rageusement à la poursuite de ses
ravisseurs.
Au même moment, à Rome, l'éminent enquêteur Bénédict Gui accepte une
nouvelle mission : retrouver un jeune homme employé par l'administration du
pape.
Lui aussi a disparu sans laisser de traces, emmené par des hommes en noir.
Enfants enlevés, archives escamotées, cardinaux assassinés... Dans ce Moyen
Age où le pouvoir de l'Église est plus fort que jamais, quelque chose se
prépare.
Le père Aba et Bénédict Gui, sans se connaître et au prix de leur vie
peut-être, parviendront-ils à faire échouer les puissants qui ont sombré
dans le cynisme et la démesure ?
Présentation de l'éditeurDexter Morgan est le serial killer dont on rêve en secret, qui canalise ses instincts de tueur en se débarrassant des monstres ayant échappé à la justice. Son job de technicien de scène de crime pour la police de Miami lui fournit une couverture idéale. Mais un jour tout bascule : un double homicide commis sur le campus de l'université le terrifie... et le prive de sa voix intérieure, le Passager noir, qui l'aidait à identifier les assassins. Le plus dur pour lui sera de protéger les enfants de sa compagne Rita, les jeunes Cody et Astor, qui semblent avoir les mêmes appétits sanglants que lui... Traduit de l'américain. Du même auteur : Ce cher Dexter ; Dexter revient !
Présentation de l'éditeur
Jacqueline Owen est retrouvée morte après qu'elle a découvert une étrange inscription au-dessus de sa cheminée : CI-GISENT LES MENTEURS. Qui sont donc ces menteurs ? Cette énigmatique prophétie mène à un document ancien ayant appartenu aux hérétiques cathares, que le Vatican tente de récupérer par l'intermédiaire de la mafia. Mark Owen, son époux, n'est pas de force à mener ce genre de bataille seul et sollicite donc l'aide de son ami, Chris Bronson, un flic en conflit avec sa hiérarchie, qui enquête à titre personnel. Seulement, Mark Owen est à son tour très vite assassiné par la mafia. Entre temps, Chris Bronson a contacté son ex-femme, Angela Lewis, spécialiste des antiquités. Ils vont tous deux sillonner l'Europe, pourchassés par des tueurs à gages, pour essayer d'en savoir plus sur l'antique document. Pourquoi le Vatican s'inquiète-t-il à ce point ? En quoi ce texte peut-il remettre en question les fondements-même du christianisme ? Les symboles obscurs et les codes secrets dissimuleraient-ils une révélation de taille à ébranler notre monde moderne
Présentation de l'éditeur
Joseph Vaughan, écrivain à succès, tient en joue un tueur en série, dans l'ombre duquel il vit depuis l'enfance. Trente ans plus tôt : Joseph a 12 ans lorsqu'il découvre dans son village de Géorgie le corps horriblement mutilé d'une fillette assassinée. La première victime d'une longue série qui laissera longtemps la police impuissante. Des années plus tard, alors que l'affaire semble enfin élucidée, Joseph décide de changer de vie et de s'installer à New York pour oublier les séquelles de cette histoire qui l'a touché de trop près. Mais à nouveau les meurtres d'enfants se multiplient, et il comprend que le tueur est toujours à l'oeuvre. Joseph n'aura alors d'autre solution, pour échapper à ses démons, que de reprendre l'enquête afin de démasquer le vrai coupable, dont l'identité ne sera révélée que dans les toutes dernières pages. Au-delà du roman de serial killer, à la mécanique parfaite et au suspense constant, Seul le silencemarque une date dans l'histoire du thriller. Avec ce récit crépusculaire à la noirceur absolue, sans concession aucune, R. J. Ellory évoque autant William Styron que Norman Mailer par la puissance de son écriture et la complexité des émotions qu'il met en jeu. R. J. Ellory est né en 1965. Après avoir connu l'orphelinat et la prison, il devient guitariste dans un groupe de rock, avant de se tourner vers la photographie.
Présentation de l'éditeur
Oxford, 2006. Une jeune femme est retrouvée sauvagement assassinée, la gorge tranchée. En lieu et place de son cœur luit une pièce d'or ancienne. Vingt-quatre heures plus tard, une nouvelle victime est découverte. Le mode opératoire est identique. Mais cette fois c'est son cerveau qu'on a retiré et remplacé par une pièce d'argent. Tandis que l'enquête officielle piétine, Philip Bainbridge, photographe de la police, et son amie Laura Niven, ex-journaliste criminelle, font le lien avec des meurtres rituels commis au XVIIe siècle. Cette piste les mène à un groupe d'alchimistes organisé autour d'un des savants les plus célèbres de l'époque, sir Isaac Newton. Prise dans un engrenage infernal qui met en danger ses proches, Laura comprend qu'elle est la seule personne capable de réécrire l'histoire. Et d'empêcher l'assassin de frapper une fois de plus. Sous la plume experte de Michael White, science, histoire et occultisme se fondent en un thriller haletant hanté par la personnalité complexe d'Isaac Newton. Une plongée dans les souterrains d'Oxford qui lève le voile sur les mystères de l'alchimie.
Re: La rentrée littéraire
Chouette un Coben et Lindsay (bien sur j'attendrais qu'ils sortent en poche mais ça fait toujours plaisir de le savoir.
Re: La rentrée littéraire
Y a pas mal de bouquins qui me tentent, mais je préfère attendre leur sorties en poche !
Ce serait bien d'avoir les avis de ce qui liront ces livres !
Ce serait bien d'avoir les avis de ce qui liront ces livres !
Re: La rentrée littéraire
Un jeune et nouvel auteur pour cette rentrée littéraire, qui me semble prometteur : Jean-Baptiste Del Amo.
Une éducation libertine
Paris, 1760. Gaspard, jeune Breton qui a fui la porcherie parentale, se trouve brutalement plongé dans l’univers grouillant et pestilentiel de la capitale, par un été caniculaire. Gaspard se retrouve d’abord pris en main par Lucas, un ouvrier qui travaille au déchargement de billes de bois sur les quais de Seine. Il vivra avec lui sa première relation sexuelle, puis dérivera peu à peu vers la prostitution, éduqué par un libertin pervers, Etienne. Gaspard n’est cependant pas une victime : il veut arriver, et se montre prêt à tout pour quitter à jamais le souvenir de Quimper et de sa mère « qui sentait la truie ». Il pénètre ainsi dans une société huppée et décadente, séduit des aristocrates, connaît la richesse avec l’héritage d’un de ses amants, le baron Raynaud. Il finit par épouser la fille du comte d’Annovres, autre amant. Mais en lui persiste l’odeur méphitique de la porcherie de Quimper… Roman d’apprentissage mené avec une maîtrise et un sens du récit impressionnants – le cloaque urbain est décrit avec une précision hallucinée –, Une éducation libertine retrace l’ascension et la chute d’un homme asservi par la chair.
Une éducation libertine
Paris, 1760. Gaspard, jeune Breton qui a fui la porcherie parentale, se trouve brutalement plongé dans l’univers grouillant et pestilentiel de la capitale, par un été caniculaire. Gaspard se retrouve d’abord pris en main par Lucas, un ouvrier qui travaille au déchargement de billes de bois sur les quais de Seine. Il vivra avec lui sa première relation sexuelle, puis dérivera peu à peu vers la prostitution, éduqué par un libertin pervers, Etienne. Gaspard n’est cependant pas une victime : il veut arriver, et se montre prêt à tout pour quitter à jamais le souvenir de Quimper et de sa mère « qui sentait la truie ». Il pénètre ainsi dans une société huppée et décadente, séduit des aristocrates, connaît la richesse avec l’héritage d’un de ses amants, le baron Raynaud. Il finit par épouser la fille du comte d’Annovres, autre amant. Mais en lui persiste l’odeur méphitique de la porcherie de Quimper… Roman d’apprentissage mené avec une maîtrise et un sens du récit impressionnants – le cloaque urbain est décrit avec une précision hallucinée –, Une éducation libertine retrace l’ascension et la chute d’un homme asservi par la chair.
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Re: La rentrée littéraire
kroustik a écrit:Moui... Je ne cède jamais à cet effet "rentrée" et de toute façon j'attends que ce soit en bibli la plupart du temps. J'aime bien lire quand l'effet nouveauté est un peu retombé.
Bon le Nothomb me tente mais je n'ai pas encore lu celui de l'année passée ! Je ne l'acheterai surement pas car une vingtaine d'euros pour 1 h 15 de lecture c'est trop cher
Je fais la même chose, soit j'attends que ce soit à le biblio ou alors je l'achète quand ça sort en livre de poche ... mon budget ne me permet pas trop de faire autrement
Mais c'est quand même très intéressant de savoir ce qui sort ... pour plus tard
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